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Extrait I : Harry Potter, A l'école des sorciers, Tome I

Vous trouverez dans cette rubrique les extraits de notre groupement de textes qui nous ont permis de répondre à notre question de corpus.

"Mr Dursley se figea dans son fauteuil, Des pluies d'étoiles filantes sur tout le pays ? Des hiboux qui volent en plein jour ? Des gens bizarres vêtus de capes ? Et ces murmures, ces murmures sur les Potter... [...] Les Potter savaient parfaitement ce que Pétunia et lui pensaient des gens de leur espèce... [...] Harry avait toujours été petit et maigre pour son âge. Il paraissait d'autant plus petit et maigre qu'il était obligé de porter les vieux vêtements de Dudley qui était à peu près quatre fois plus gros que lui. Harry avait un visage mince, des genoux noueux, des cheveux noirs et des yeux d'un vert brillant."

 

"On n'avait encore jamais vu dans Privet Drive quelque chose qui ressemblât à cet homme. Il était grand, mince et très vieux, à en juger par la couleur argentée de ses cheveux et de sa barbe qui lui descendaient jusqu'à la taille. Il était vêtu d'une longue robe, d'une cape violette qui balayait le sol et chaussé de bottes à hauts talons munies de boucles. Ses yeux bleus et brillants étincelaient derrière des lunettes en demi-lune et son long nez crochu donnait l'impression d'avoir été cassé au moins deux fois. Cet homme s'appelait Albus Dumbledore. "

                  Extrait II : l'Odyssée, texte abrégé

"Effrayés, les envoyés d'Ulysse s'arrêtèrent devant les portes de la magicienne. Ils entendirent de loin sa voix mélodieuse, car elle chantait en tissant et tous les murs résonnaient de sa très belle voix... Alors, la magicienne les frappa d'une baguette magique et, aussitôt, ils furent transformés en porcs... Malheureux Ulysse, si tu veux délivrer tes compagnons de Circé, tu n'y réussiras pas seul car tu risques d'être transformé toi aussi cochon. Mais je vais te venir en aide. Prends ce breuvage excellent avant d'approcher de la maison de la déesse."

Extrait III : MISTRIIJO la mangeuse d'âmes, Djaïli Amadou Amal

"Dodo est un homme grand, mince, le corps nerveux, le teint très noir. Il portait sur son visage sombre, où les yeux et les dents luisaient d'une blancheur insolite, les scarifications, symboles de sa tribu. Sur toutes ses articulations étaient attachés des multiples gris-gris. Rouges, marrons ou noirs, contenant des versets coraniques et des figues ésotériques, ou a lors des herbes mystérieuses; ces gris-gris étaient recouverts de peaux animaux, de plumes, ou même simple tissu aux couleurs incertaines." [...]
"- C'est l'œuvre d'un mistriijo ! Un sorcier mangeur d'âmes.
Le même cri de stupeur s'échappa de toutes les bouches. La même réplique indignée.
- Un sorcier ? Un mistriijo ? Pauvre Moussa !"
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" Un oncle était allé quérir Dodo le guérisseur. C'était une évidence pour tous! Cette maladie trop mystérieuse et soudaine ne pouvait être soignée à l'hôpital. Cet étrange maladie ne saurait en aucun cas trouver remède en la médecine occidentale." [...] " Un soupir de soulagement dégonfla les poitrines oppressées. La sorcière était démasquée.Une lueur de panique aussi. Elle habitait le quartier. Elle était l'une des leurs, et depuis toujours, tous les enfants du quartier se rassemblaient et jouaient auprès d'elle."[...]
"- Gogo Aissa a mangé Moussa?
- La Gogo Aissa qu'on connaît si bien?
- La Gogo Aissa du quartier?
- La Gogo Aissa qui parait si innocente?
- Notre Gogo Aissa? questionna étonné un enfant intrépide. "

Extrait IV : Contes peuls du Nord-Cameroun, le menuisier et le cobra, Dominique Noye

"Un marabout très savant était juge dans une grand ville [...]
- Hélas ! Ce fils de marabout, dès son éveil à la vie, a trouvé tous les livres de son père qui en est le juge, qui est son grand marabout, qui préside la prière de la mosquée, et le fils laisse tout cela en disant qu'il apprend à chasser, il vit dans la brousse, il tire soit sur un petit oiseau, soit sur un gazelle, soit sur une biche-cochon, soit sur n'importe quoi, et il se procure ainsi de quoi manger."
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" -Maintenant tu nous fait honte, tu nous tournes en dérison. Et pourquoi? Tu n'es pas voleur, tu n'es pas menteur, mais on se moque de nous en disant que moi, aujourd'hui, un marabout très savant, je suis ton père, et toi tu es mon vrai fils, tu n'es pas un bâtard, et voilà que tu abandonnes les livres que tu as trouvé à ta naissance et que tu pouvais étudier. Tu as préféré la chasse, et tu tires sur des oiseaux ou sur n'importe quelle bête de la brousse. Et quand je serai mort, qui va hériter de mes livres et être le juge de ville?  Cette ville n'a pas d'autre maître que moi, à part sultant qui en est le chef avec moi, et si l'on soumet au sultan une question à juger, il la défère au marabout. Et après sa mort, c'est à toi que l'on donnera ma charge de marabout, ainsi que la présidence de la prière à la mosquée. "
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© TPE 2016/2017 par Reïna, Sasha et Laetitia

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